Ici je fais une digression sur l’appropriation du principe par les grands courants qui constituent notre civilisation en me concentrant sur les deux axes majeurs entrelacés qui la constituent : les religions monothéistes et la philosophie. Pour aller vite, l’une investit les yin et yang en bien et mal, évidemment au prix de contorsions et d’appendices et l’autre nie le yin et glorifie le yang comme s’il était l’avenir de l’humanité, là aussi évidemment au prix de contorsions et d’appendices qui font tout le sel et la difficulté de la philosophie qui n’en a pas besoin.