Struc­ture de la base de données des onto­lo­gies formelle – 7

La base de données est comme un coffre que l’on remplit chaque jour un peu. Sa valeur utile dépend non seule­ment dans la qualité de son analyse, mais aussi énor­mé­ment du soin et de l’at­ten­tion que l’on place dans l’en­semble de petits gestes répé­tés qui consistent à la nour­rir avec des traces du réel.

La base de données onto­lo­gique n’est pas autre chose. Chaque ligne d’in­for­ma­tion, chaque équa­tion est le fruit de réflexion plus ou moins intense à propos d’un champ disci­pli­naire pas néces­sai­re­ment bien iden­ti­fié, puisque le champ en ques­tion peut bien être l’en­semble de tous les champs. Quand vous l’au­rez devant les yeux, vous pour­rez faire défi­ler des années de travail de fourmi d’un seul coup de souris et ne pas trou­ver cela impres­sion­nant. Pour­tant elle expose à la critique une harmo­nie que les hommes perçoivent depuis des millé­naires qu’ils l’aient nommée Sophia Perre­nis, Prin­cipe Univer­sel, etc. L’am­bi­tion est bien celle-là : chaque équa­tion est clas­sée selon un ordre imma­nent, diffi­cile à appré­hen­der, impos­sible à nommer une fois pour toutes, dont l’ap­pa­rence semble pour­tant chan­ger selon ce que l’on observe, etc., mais pour autant, c’est toujours le même ordre qui anime ces ensembles de mots d’au­tant plus précis qu’on s’ap­proche de la pureté concep­tuelle d’un domaine étroit du savoir. Le langage est à le fois l’unique moyen et le pire handi­cap de cette quête du sens imma­nent.

Je vais four­nir une base mal fice­lée et pleine de trous par rapport aux ambi­tions que j’ai montrées lors de l’ana­lyse. Ce qui est bien c’est que ce sera facile de faire mieux, ce qui est moins bien, c’est qu’il y aura moyen de s’y perdre et puis ça chan­gera sans arrêt et le travail ne sera donc jamais fini. En fait, ce travail est d’ordre ency­clo­pé­dique.

Ajou­tons à cela que tout le monde ne nait pas égal devant cette recherche. Connaître sa typo­lo­gie innée consiste à connaître sa posi­tion dite de repos. Soit vous êtes ration­nel, soit vous êtes irra­tion­nel ; soit vous êtes physique, soit vous êtes intel­lec­tuel. Ce déter­mi­nisme à la nais­sance est irré­ver­sible, mais on peut s’y adap­ter : pas d’inné sans acquis. Des ration­nels peuvent, au prix d’ef­forts plus impor­tants, mais qui ne manquent pas d’in­té­rêt, se fondre dans la poésie. Tout est possible, tout est inté­res­sant, tout est vivant, même la sclé­rose contem­po­raine sur ces savoirs qui impose à tous dès les classes primaires le même moule de réfé­rence « ration­nel/intel­lec­tuel/actif/sérieux » dési­gnant le Bien.

Si vous êtes encore à me lire alors il y a de fortes chances que vous soyez comme moi, irra­tion­nel et intel­lec­tuel. Cette caté­go­rie de personnes n’a pas la posi­tion idéale pour suivre des études univer­si­taires, car elle préfère navi­guer entre les disci­plines qui l’at­tirent à l’ins­tant T. C’est une approche que l’on pour­rait quali­fier de trans­ver­sale. L’époque taxera de fantasque une telle manière d’être en la dépré­ciant. C’est regret­table, car il est certain que toutes les façons d’être sont utiles.

J’ai été élevé comme tous les Français dans un monde insti­tu­tion­nel de type assu­ré­ment ration­nel/intel­lec­tuel. Passe ton BAC et ensuite fais ce que tu veux. J’ai passé cette épreuve à recu­lons et puis je me suis enfui de ce stupide carcan pour vivre ma vie de paria. Paria est un grand mot, mais quand on n’a pas le pres­tige d’avoir le diplôme, on n’est pas inté­res­sant par défi­ni­tion. Auto­di­dacte est un gros mot que je suis contraint de m’ap­pliquer parce que ce que j’ai fait de ma vie est appa­rem­ment juste risible : j’ai inventé mon métier, mes jeux et ma propre vision de ma place dans le monde. Je ne suis parvenu à parta­ger aucun de ces « délires ». Mes clients sont contents, mes amis appré­cient mes éclai­rages fondés, mais c’est tout : si j’ex­plique, ils s’en­fuient et soudain se comportent comme si j’étais idiot.

Pour­tant je suis exac­te­ment à ma place, en parti­cu­lier avec l’on­to­lo­gie qui est du même domaine que ma typo­lo­gie innée, irra­tion­nel et intel­lec­tuel. Comme elle, je touche à tout sans entrer dans le détail. Comme elle je suis dans le flou et la vision. La Science tend expli­ci­te­ment à reje­ter cette science, comme l’uni­ver­sité tend à repous­ser non seule­ment les gens de mon acabit, mais d’autres encore pour ne conser­ver qu’un type idéal sans le nommer, ce qui ferme le piège.

Pourquoi je vous raconte tout ça ? Et pourquoi j’y revien­drai encore et encore ? Parce que l’on­to­lo­gie formelle est coin­cée dans un piège concep­tuel extrê­me­ment puis­sant, qui enferme lui aussi les gens capables de l’en sortir. C’est le piège génial qu’a bâti Parmé­nide, le piège du néant, créant par ce geste la Philo­so­phie. Ce qui n’existe pas, il ne faut pas en parler, c’est le « Non ! » inau­gu­ral des Ration­nels. Au passage, si je mets des majus­cules à certains mots qui ne devraient pas en rece­voir, c’est pour indiquer que je désigne un état d’es­prit partagé par un ensemble de personnes, qu’on peut aussi nommer égré­gore. Ici être Ration­nel ne veut pas dire faire usage de ratio­na­lité, mais appar­te­nir à l’en­semble des gens préten­dant en faire l’usage exclu­sif pour toutes leurs actions.

En essayant de me suivre, vous êtes dans le piège, regar­dant au dehors de lui, vers un réel obfusqué par la simpli­fi­ca­tion Philo­so­phique, le simplisme je devrais dire, qui a conduit à penser que ce que l’on ne maîtrise pas n’existe pas. L’on­to­lo­gie, la méta­phy­sique sont ces objets néan­ti­sés parmi d’autres, innom­brables, dont mon premier objet fonda­teur, la typo­lo­gie psycho­lo­gique innée, science millé­naire, véri­table et légi­time, qui, sachez-le, se perpé­tue aujourd’­hui sous le manteau, cachant honteu­se­ment son pres­ti­gieux et indis­cu­table héri­tage et qui se fait nier mécham­ment dans les discus­sions par des Scien­ti­fiques, par des croyants, qui affichent incons­ciem­ment un certain mépris de consi­dé­ra­tions épis­té­mo­lo­giques élémen­taires. Oui, vous avez bien lu, je déclare et affirme que nombreux sont ceux qui se cachent de la Science pour faire de la science. En géné­ral, ce que nombre de gens appellent de leur vœux comme « le chan­ge­ment de para­digme », est le simple fait de ne plus devoir se cacher des instances Scien­ti­fiques ou d’œu­vrer hors la Science pour étudier des faits du réel. C’est scan­da­leux et c’est dange­reux, cela se réfère à l’idée que l’homme est dépassé par la tech­no­lo­gie : évidem­ment il a oublié les fonde­ments de la sagesse, d’ailleurs ce mot n’a plus de sens dans les diction­naires eux-mêmes.

Si mes tirades ressemblent à des charges, c’est logique, je suis émotif et je réponds à l’af­fect par de l’af­fect, c’est mon histoire et si vous voulez c’est un défaut ou un style, au choix. Mais ne vous y lais­sez pas trom­per, ce que je fais ici est un véri­table état des lieux. La tendance qui commence à Parmé­nide s’est affir­mée aux Lumières, s’est vue victo­rieuse au Posi­ti­visme, la révo­lu­tion quan­tique et rela­ti­viste l’a rendue discrète à défaut de deve­nir modeste et elle améliore depuis chaque jour sa domi­na­tion en travaillant au milli­mètre son rempart d’ar­ti­fices et sa furti­vité. Rappe­lons-nous : la Philo­so­phie est mère de toutes les Sciences, tout le reste suit aveu­glé­ment : poli­tique, gouver­nance, commerce, ou meurt aveu­glé­ment, sagesses, reli­gions, amour, don, etc.

La science n’est pas la Science. La première est immé­mo­riale, elle appar­tient au vivant, la seconde est l’église la plus gigan­tesque et la plus puis­sante que cette terre ait jamais portée, trans­for­mant toute autre croyance et reli­gion en secte. Il y a quelques très bonnes raisons à cette puis­sance inouïe qui ne sont pas à démon­trer et quelques bonnes dérai­sons aussi, que je classe au rang des troubles psycho­lo­giques de groupe (de civi­li­sa­tion) graves avec déni. Soyons clairs, je ne suis pas ennemi de la Science ou de la Philo­so­phie, tout au contraire j’ad­mire profon­dé­ment ces construc­tions du génie humain, j’œuvre par elles, pour elles et même malgré elles, pour l’évo­lu­tion de la vie en quête d’une harmo­nie tempo­rai­re­ment détruite. Les millé­naires depuis le néoli­thique se sont mons­trueu­se­ment accé­lé­rés pour les hommes depuis quelques petits siècles, tout cela va se néces­sai­re­ment se calmer, pourvu que ce ne soit pas dans la destruc­tion mutuelle, c’est mon vœu.

Si vous parve­nez à inté­grer cela au-delà des affects, si vous ne reje­tez ni la science ni la Science dans un même geste de rébel­lion, ce qui est mon cas malgré quelques appa­rences alors vous allez pouvoir ouvrir la porte de l’on­to­lo­gie formelle. La base de données nait d’une volonté de recen­sion de pensées millé­naires, et de leur accé­lé­ra­tion fulgu­rante depuis les Lumières. Tous les penseurs, même les plus fermés de la Science, quel que soit leur domaine, qu’ils le sachent ou non, font de l’on­to­lo­gie à un moment ou à un autre. L’on­to­lo­gie s’ex­prime néces­sai­re­ment à l’aide de mots ou d’ex­pres­sions élémen­taires et essen­tiels. Les longues et complexes justi­fi­ca­tions tech­niques précisent et fixent l’uni­vers concep­tuel qui gravite toujours autour d’un pivot onto­lo­gique. Plus la recherche est évoluée et plus l’on­to­lo­gie est nette pour chacun, et plus elle se range et ressort toute seule, se forma­li­sant selon un schème complexe et omni­va­lent que nous tentons de cerner selon ce que l’on peut nommer avec d’autres un prin­cipe univer­sel.

La base de données se veut un relevé des diverses instances de ce prin­cipe que nous rencon­trons en nous et chez les penseurs de tous domaines. J’ai l’im­pres­sion que je n’in­sis­te­rai jamais assez sur la densité incroyable de savoir conte­nue dans cette base de données actuelle et poten­tielle. En tout cas, je sais que c’est très facile de passer à côté, d’où toutes ces précau­tions oratoires.

Je suis divisé entre deux façons de procé­der et j’ai la sensa­tion que ma flemme va l’em­por­ter, mais peut-être que je me fustige tout seul. Soit je publie un vrac évolu­tif, soit je ne publie que des extraits dont je suis certain. D’un côté si j’en­voie le vrac, j’ima­gine que la critique va fuser au moindre faux pas, ne s’ex­pri­mant proba­ble­ment pas autre­ment que dans un bana­lis­sime et défi­ni­tif « c’est ridi­cule » prononcé in petto et débou­chant par un clic de ferme­ture et d’ou­bli ; de l’autre côté les gens qui ne vont pas loin sont légion dans un monde de constantes solli­ci­ta­tions et ça ne filtrera en gros que ceux qui de toute façon ne pour­raient pas entrer dans l’on­to­lo­gie. Je l’ai dit, si vous êtes encore à me lire à ce stade, c’est que vous avez l’état d’es­prit qui convient au bordel créa­tif qu’est le monde onto­lo­gique, vous avez sans doute le truc de l’or­pailleur qui regarde briller le mica sans s’y arrê­ter, remarquant d’un clin d’œil la vraie pépite d’or à un certain éclat, et dans ce cas, vous êtes crédules au sens noble du terme, scien­ti­fique et non Scien­ti­fique pour sché­ma­ti­ser parce qu’on peut évidem­ment être les deux, c’est-à-dire capables de vous lais­ser croire consciem­ment, de vous regar­der croire. Dans ce cas la profu­sion ne vous inquiè­tera pas, vous saurez navi­guer à l’ins­tinct, à l’at­ti­rance. C’est la bonne approche pour cette science primi­tive qui n’a rien de la Sain­teté du Vrai que la Science asso­cie à ses recherches comme seul critère, tran­ché, d’in­clu­sion : soit le Vrai soit le néant dont il ne faut pas parler.

J’ai eu beau m’em­pê­cher d’en­trer dans la base des tas de nouvelles équa­tions, il n’em­pêche que j’en recense 40 de plus qu’au début de ce texte. Si je me laisse aller, ça va croître très vite et deve­nir de plus en plus diffi­cile de quali­fier et de main­te­nir ma base de données. Quan­tité ou qualité ? La qualité coûte cher non seule­ment en temps, mais en concen­tra­tion, car à chaque fois il faut retour­ner à la compré­hen­sion profonde du texte, surtout quand on parle des auteurs foison­nants de la Philo­so­phie qui est le gros, le très gros morceau, à très haut niveau de lecture, avec du génie et des erreurs à foison, déli­cates entre toutes à trai­ter, erreurs parfois graves de consé­quence et parfois créa­tives, erreurs qui sont toutes vecteurs d’évo­lu­tion par le redres­se­ment de la pensée cumu­la­tive qu’elle poten­tia­lisent si on en prend conscience. La barre est placée là : il faut tout relire avec cet œil nouveau et dans le même temps il faut affi­ner cet œil qui n’est encore qu’à peine entre-ouvert.

Mes caté­go­ries sont encore un peu mal déli­mi­tées, mais elles ont l’air de former un ensemble plutôt complet. Des choses inclas­sables avant trouvent désor­mais leur place toute natu­relle dans la struc­ture. C’est apai­sant de voir la confu­sion recu­ler. Je suis persuadé que d’autres ensembles vont appa­raître en d’autres secteurs de la recherche, par exemple ce qui concerne l’au­teur non pas de l’on­to­lo­gie, mais de son assi­gna­tion formelle, c’est-à-dire très souvent moi pour le moment.

Bon, je vais le dire, c’est pour moi, selon le moment de la jour­née, soit un rêve soit une chimère : le travail quali­ta­tif ne peut être vrai­ment réalisé par une personne seule, c’est un travail collec­tif. Pour l’heure il me faut de l’aide, beau­coup d’aide pour un projet aussi déme­suré pour lequel chaque ligne de la base de données doit être plei­ne­ment compris et approuvé par plusieurs personnes réel­le­ment aptes à cet exer­cice, telle­ment parti­cu­lier et déli­cat qu’une civi­li­sa­tion entière l’a mis au ban, perdant par là sa présence au réel, jetant aux poubelles de l’his­toire d’an­ciens Dieux à compo­sante bien­veillante et en bénis­sant de nouveaux, aussi impi­toyables qu’a­veugles : Tech­no­lo­gie, Progrès, etc. Plus tard ce travail ne m’ap­par­tien­dra plus, l’ou­til servira son époque et il sera amélioré bien au-delà de ce que j’ai pu déblayer à petits gestes accu­mu­lés.

Par contre en quan­ti­ta­tif vous n’ima­gi­nez pas le nombre de ces objets, ces instances du prin­cipe, dont je dispose dans le fouillis de mes notes et textes et livres, etc. Si je fais cela, les centaines vont conti­nuer à s’égre­ner… Et j’en meurs d’en­vie !

Je désire clôtu­rer pour le moment le chapitre de la base de données dont nous sommes au septième texte et ce sera en publiant mon vrac analy­tique­ment limité, mais complet. Je ne peux pas accé­der sans déve­lop­per à la maîtrise suffi­sante de l’ou­til de publi­ca­tion que j’uti­lise actuel­le­ment, WordP­ress, pour faire des pages inter­ac­tives avec ma BDD, alors je vais mettre une feuille de tableur en télé­char­ge­ment.

Déve­lop­per j’adore ça, mais je sais que si je commence je ne ferais que cela et c’est sans fin. C’est un gouffre fami­lier. Donc je vais éviter pour le moment. Ce qui m’in­té­resse c’est d’écrire main­te­nant que j’ai ouvert de robi­net, j’ai vingt années à rattra­per. WordP­ress est très bien pour faire des tas de choses, mais je ne le maîtrise pas pour faire ce qu’il me faut ici, c’est-à-dire pas un blogue. Je vais donc brico­ler sur le même mode qu’ici, en enquillant des pages sur un sujet donné, qu’il faudra lire séquen­tiel­le­ment.

Le sujet suivant sera sur la psycho­lo­gie de l’inné, puisque c’est l’ori­gine maté­rielle de toute cette recherche person­nelle et qu’elle se trouve puis­sam­ment ancrée, indé­ra­ci­nable, dans la science depuis l’an­tiquité et qu’elle n’est pas morte, mais alors pas du tout, en totale et obsti­née contra­dic­tion avec ce que clame la Science quand elle veut faire taire, elle qui trouve d’ailleurs depuis Platon que non, puisqu’on vous le dit, le réel n’existe pas, seule l’idée mérite d’être contem­plée, tout le reste est dépen­dant, secon­daire et jetable, taillable et corvéable à merci, sous le couvert magique d’un mot dévoyé parmi d’autres, symp­tôme puru­lent de toute notre folie contem­po­raine : objec­ti­vité.

Et puis j’at­taque­rai les traits, ce gros morceau que certains d’entre vous ont déjà saisi parce que je ne cesse de les employer comme si c’était tout natu­rel alors que c’est vrai­ment un système neuf qui émerge de mes systé­ma­ti­sa­tions à partir d’une petite propriété « rigo­lote » que j’ai perçue voici peut-être vingt ans avant de comprendre, non d’en­vi­sa­ger, tout récem­ment sa prodi­gieuse capa­cité de mettre de l’ordre dans le fouillis de nos pensées, à commen­cer par celles de la reine incon­tes­tée de la pensée, la Philo­so­phie. Ceux qui scru­te­ront la base de données trou­ve­ront du maté­riel apte à étayer cette mise en ordre, regar­dez la dernière coche de la vali­da­tion pour des équa­tions célèbres.

Peut-être qu’a­vant cela j’ex­plique­rai, pardon je racon­te­rai, quand même ce que beau­coup de gens sur cette terre savent au plus profond d’eux même sans pouvoir vrai­ment le dire, faute de recon­nais­sance offi­cielle de ce sujet par la reli­gion domi­nante du monde, savoir infini réduit au folk­lore anec­do­tique d’une civi­li­sa­tion tota­le­ment dépas­sée par la gran­deur de la Philo­so­phie, l’apho­risme de Confu­cius sans lequel le miracle grec lui-même n’au­rait pas eu lieu.

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