Le travail métaphorique de la compréhension implique : des métaphrandes (les choses à décrire) ; des métapheurs (les choses aidant à décrire les précédentes) ; des parapheurs (les mots associés aux métapheurs, sèmes en quelque sorte contenus dans la connotation) ; des paraphrandes (les mots associés aux choses à décrire et que la langue possède).
Julian Jaynes – La Naissance de la Conscience dans l’effondrement de l’esprit bicaméral page 60
L’ordre d’apparition de la typologie proposé dans l’article ne convient pas. Il est transformé, mais métaphrandes reste premier.
Le trait alpha n’est pas lisible ici. En tous cas l’insertion fonctionne.
Trait alpha
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Extrinsèques |
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Intrinsèques |
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Typologie
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Parapheurs |
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Métapheurs |
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Paraphrandes |
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Métaphrandes |
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Portraits
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Les mots associés aux métapheurs, sèmes en quelque sorte contenus dans la connotation |
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Les choses aidant à décrire les métaphrandes |
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Les mots associés aux métaphrandes et que la langue possède |
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Les choses à décrire |
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Mais, une palette de plus en plus large de chercheurs observe que le langage quotidien comporte un usage extensif de la métaphore que le langage scientifique et technique se développe sur la base de la métaphore que dans la construction initiale des extensions du langage premier, l’usage de la métaphore a été primordial.
Il est proposé de désigner la chose à qualifier par le terme de métaphrande et le qualificateur par le terme de métapheur.
Le Guichet du Savoir – De l’usage des métaphores