Struc­ture de la base de données des onto­lo­gies formelle – 8

Cet épisode marque la fin de cette série de huit textes par la mise à dispo­si­tion de la base de données des onto­lo­gies formelles « en l’état ». Tous les champs de l’ana­lyse n’ap­pa­raissent pas encore, mais toutes les équa­tions saisies pour l’heure sont là.

La voca­tion de la base de donnés est de conte­nir un réfé­ren­tiel des ensembles de mots et expres­sions qui entrent expli­ci­te­ment dans la forme onto­lo­gique que je décris ici. L’objec­tif d’une telle accu­mu­la­tion n’est pas démons­tra­tif, il est mons­tra­tif. C’est très diffé­rent, il ne s’agit pas de fonder une science prédic­tive, ça, c’est pour bien plus tard et si cela se fait un jour ce sera l’œuvre de gens très diffé­rents de moi irra­tion­nel. L’objec­tif est de s’ar­ra­cher de la discur­si­vité, mon domaine, pour servir l’in­duc­tion qui dit « ça marche donc on peut s’en servir ». Il s’agit de montrer sans équi­voque l’exis­tence de l’har­mo­nie qui existe entre toutes les équa­tions propo­sées. Harmo­nie signi­fie absence de contra­dic­tion lors de propa­ga­tion de signa­tures. En clair, si je signe telle équa­tion [e1] d’une façon donnée, qui me conduit par propa­ga­tion à signer une autre équa­tion [e2] en contra­dic­tion avec ce qu’une autre source me ferait signer, alors il y a dishar­mo­nie : en théo­rie, si ce genre de chose adve­nait de manière indu­bi­table, alors toute la thèse de l’on­to­lo­gie formelle défen­due ici serait fausse. Évidem­ment ce n’est pas une défi­ni­tion sans ambi­guïté, car on peut être tenté de penser que diverses solu­tions ad hoc vont distordre cette règle. C’est là que toutes mes tenta­tives d’en­ré­gi­men­ter dans ma base de données diverses carac­té­ris­tiques d’équa­tions sont capi­tales. Si je dis par exemple que la crois­sance est yin et la décrois­sance yang, alors je me fais allu­mer direc­te­ment : « ça ne marche pas ton truc ». Mais si j’in­ter­viens en amont pour expliquer le carac­tère ‘chan­geant’ de cette équa­tion, alors j’ai établi une famille cohé­rente de signa­tures qui ne sont contra­dic­toires qu’en appa­rence.

Et voici l’af­fir­ma­tion qui démonte l’es­pèce de critère de falsi­fia­bi­lité que j’ai édicté ci-dessus : il est néces­saire, et certain vont bondir, de croire en l’har­mo­nie que l’on ne peut que montrer. Il n’y a jamais besoin de solu­tion ad hoc, il n’y a que des règles subtiles, dont certaines sont encore à décou­vrir, à propos d’une phéno­mé­no­lo­gie vaste et floue. Ce qui se passe dans les faits, c’est qu’un ensemble de mots entre ou n’entre pas dans l’ana­lo­gique formelle : s’il y entre, il est signé, s’il est signé, c’est qu’il y entre. Les autres ensembles sont mis de côté, c’est ce que déclare la seconde coche de la vali­da­tion qui signi­fie ‘for­mel’. Oui j’ai utilisé une tauto­lo­gie, mais c’est normal, car notre unique fonda­tion est un axiome : évident, indé­mon­trable, univer­sel.

Atten­tion, voici venir un moment capi­tal de cette recherche qui se déroule dans cette volonté de mons­tra­tion. Avant d’être décou­vreur, je suis ontoar­chéo­logue. J’ai utilisé un outil antique en l’état sans rien y chan­ger d’autre que sa repré­sen­ta­tion, appa­rem­ment comme personne ne l’a fait avant moi. J’ai été un tâche­ron obstiné toutes ces années et fier de n’être pas sorti de cette modeste attri­bu­tion. J’ai récolté les pépites des autres et je les ai clas­sées le plus humble­ment qu’il m’était possible, en essayant de ne pas présu­mer d’un système que je sentais pour­tant mira­cu­leu­se­ment ferme sous l’in­cer­ti­tude de sens que laissent passer les mots. Sans perdre de vue l’apho­risme héra­cli­téen : « La nature aime à se cacher », j’ai déli­ca­te­ment scruté la trans­pa­rence diaphane des voiles d’Isis à travers les yeux d’inac­ces­sibles héros. Je racon­te­rai une autre fois ce chemi­ne­ment fait d’in­ter­dic­tions autant que d’au­to­ri­sa­tions conscientes de penser, là où les hommes refusent aujourd’­hui de regar­der. Des tas de gens fameux ont arpenté les sentiers que j’ai explo­rés, évidem­ment à commen­cer par les grands maîtres chinois, mais aussi les Grecs, avec Pytha­gore par exemple qui a clai­re­ment voulu signer dix duali­tés, même si c’est sans grand succès. D’autres ont suivi comme Nico­las de Cues, Heideg­ger ou Guénon (*), mais jamais avec ce que je sais être présent dans cette base de données : un fil conduc­teur tangible et fiable. Vous voulez connaître le secret qui m’a donné cette puis­sance jamais atteinte ? C’est d’une part 2500 ans de gran­deur Philo­so­phique décou­lant sur l’im­men­sité et la cohé­rence de la science contem­po­raine et d’autre part Inter­net. Tous ces gens, tous ces génies n’avaient pas comme moi l’ac­cès du bout des doigts depuis leur chaise, à la biblio­thèque géante, flir­tant avec l’uni­ver­sa­lité, des pensées humaines. Alexan­drie ! Quelle époque !

C’est tout cela qui me fait dire que cette décou­verte n’a qu’à être cueillie : le remède pousse là où le poison fait rage, il suffit de le discer­ner. Si d’aven­ture je ne parve­nais au terme de ma vie à rien montrer aux penseurs du temps, je sais que d’autres vien­dront, car si cette recherche paraît aujourd’­hui mori­bonde, elle n’est pas éteinte, loin de là : partout des gens éclai­rés de l’in­té­rieur écrivent des livres, fabriquent des sites dans leur coin avec les mêmes constats que moi, des sœurs et frères en foi ; partout vibrent d’in­nom­brables lignées que nous pouvons aisé­ment unir. Toute cette quête se tient devant vous : la ques­tion est celle de la confiance dans une chose pour­tant à peine expri­mable, qui a occupé les penseurs depuis des millé­naires.

Je dois ajou­ter un élément crucial de psycho­lo­gie, c’est que chacun d’entre vous sera très proba­ble­ment choqué à un moment ou à un autre par la compré­hen­sion onto­lo­gique. Chaque personne au monde construit sa propre onto­lo­gie, son expli­ca­tion du monde, à partir d’élé­ments présents et épars. Les sources onto­lo­giques, qu’elles soient reli­gieuses ou se pensant anti­re­li­gieuses, se sont appro­prié le prin­cipe onto­lo­gique formel en le distor­dant : c’est factuel, c’est histo­rique et même traçable grâce à l’ou­til, je m’y essaye­rai à un moment donné et je suis bien certain qu’il y a de toute façon des livres entiers à écrire là-dessus. Pensez par exemple simple­ment que le Bien des chré­tiens, corres­pon­dant à l’al­truisme, est aussi le Mal des Ration­nels pour lesquels, c’est d’une inuti­lité crasse : quel est votre Bien ? Y a-t-il un sens à ces mots si lour­de­ment anthro­po­morphes ?

Je veux vous mettre en garde sur le fait que votre récit intime sera à un moment donné bous­culé, démoli, renversé, et ceci que vous soyez new-âge, scien­tiste, musul­man, gnos­tique, etc. Or la construc­tion onto­lo­gique est la fonda­tion de l’être connais­sant. Un vide s’ou­vrira à vous, qui pourra être trou­blant ou même insup­por­table. Le combler vous sera peut-être impos­sible et l’on­to­lo­gie formelle vous semblera une idio­tie sans fond, une impos­si­bi­lité fonda­men­tale. À moins que, ce qui est plus simple à gérer, je ne devienne alors pour vous rien d’autre qu’un illu­miné de plus qui bafoue la Vérité. Hé les gars ! Je suis juste le mécano qui vous montre que là, peut-être, votre bagnole pour­rait être mieux réglée ! Il vous faudra recons­truire en partie votre mytho­lo­gie person­nelle et ce sera peut-être une ques­tion d’an­nées avant que vos chemins mentaux s’avèrent mieux adap­tés à une façon plus large de perce­voir le monde.

En psycho­lo­gie, l’acte théra­peu­tique réussi consiste le plus souvent en une révé­la­tion qui débouche sur une période plus ou moins longue, plus ou moins consciente, de dépres­sion grave. C’est pour cela que je parle de choc, celui qui vient de la percep­tion claire et nette d’un gâchis parfois très ancien à cause de croyances mal fice­lées, dévoyées, erro­nées, etc. La peur panique d’un tel choc, que l’on perçoit parfois aussi inti­me­ment que confu­sé­ment comme poten­tiel­le­ment dévas­ta­teur, est de nature à bloquer tout accès à la guéri­son. J’en connais trop autour de moi, inca­pables de prendre soin d’eux-mêmes et de leur folie, tant est grande, et certes justi­fiée, cette peur : garder le cap, figé droit devant jusqu’à la mort, sans jamais se retour­ner sur le mauvais chemin qu’un jour loin­tain du passé on aurait pu ne pas prendre. Il faut du courage pour se regar­der en face. Je vous souhaite ardem­ment ce ou ces passages diffi­ciles et ceci en toute amitié, car c’est réso­lu­ment gran­dir. Ce qui ne me tue pas…

La recons­truc­tion onto­lo­gique est une théra­peu­tique, comme l’est d’ailleurs la philo­so­phie pratique que certains mettent à juste titre en balance avec la théra­peu­tique psycho­lo­gique plus habi­tuelle. Si leurs effets semblent proches, l’on­to­lo­gie est plus douce que la psycho­lo­gie, parce qu’elle n’est pas aussi intime. L’une ne se substi­tue pas à l’autre. L’on­to­lo­gie est la construc­tion de la morale, de la volonté, mais sans la psycho­lo­gie elle semble plutôt vaine. J’ajoute que notre psycho­lo­gie insti­tu­tion­nelle, si elle ne manque assu­ré­ment pas d’in­té­rêt, n’est que celle de l’ac­quis : elle est bien pauvre sans son approche première qu’est son pendant inné, évidem­ment j’y revien­drai.

Et si d’aven­ture, vous n’aviez fina­le­ment pas connais­sance de diffi­cul­tés de cet ordre ni ne les avez rencon­trées dans cette recherche, comme si toute l’on­to­lo­gie était déjà en place en vous, ou bien plus sûre­ment si elle était tout simple­ment déjà ouverte en vous à toute possi­bi­lité, sans souf­france, alors vous me surpren­driez, vous seriez une fort précieuse étran­geté dans ce monde-là !

Il s’agit pour vous de télé­char­ger un fichier Excel en espé­rant que vous ayez ce programme à dispo­si­tion. L’in­té­rêt d’Ex­cel pour ce genre de choses est para­doxal : c’est l’ap­pli­ca­tion de bases de données de loin la plus utili­sée au monde, alors que ce n’est pas une appli­ca­tion de bases de données. En atten­dant, elle dispose de certaines fonc­tion­na­li­tés très utiles pour présen­ter des tableaux de données, qui permettent de les trier et de les sélec­tion­ner. Rien à program­mer pour moi et ouver­ture pour vous.

La première page contient un tableau de 343 équa­tions et les deux suivantes permettent de se rappe­ler le sens des « Carac­tères » et des « Vali­da­tions ». Ce n’est pas très pratique, ce n’est qu’un commen­ce­ment.

Le ‘Grou­pe’ se décante à peine. J’ai rensei­gné les groupes les plus évidents, mais il reste pas mal de choses non rensei­gnées. L’uni­cité des équa­tions est dépen­dante du groupe, ce qui veut dire qu’une même équa­tion peut appa­raître plusieurs fois tant que le groupe est diffé­rent.

Le ‘Nom’ est à nettoyer, car c’est à partir de ce champ que j’ai extrait les groupes. Il est supposé désor­mais entrer un niveau de détail sur le groupe. À ce point se posent des soucis secon­daires concer­nant l’ordre d’ap­pa­ri­tion. Le couple Groupe/Nom est supposé être passa­ble­ment gros­sier puisqu’une couche analy­tique sera vrai­sem­bla­ble­ment ajou­tée pour entrer des tas de liai­sons entre équa­tions sans surchar­ger la table des équa­tions de doublons.

L’‘Au­teur’ est complexe à gérer, il peut ne pas y avoir d’au­teur quand l’ori­gine de l’équa­tion se perd dans l’his­toire, si c’est une pensée millé­naire par exemple, et aussi, il peut y avoir plusieurs auteurs parve­nant à la même chose. Quand c’est moi (M.T.), c’est moins clair, j’ai pu réel­le­ment inven­ter mes propres ensembles à partir du fonds séman­tique commun, ou bien j’ai pu m’at­tri­buer des choses par défaut en repous­sant le problème de l’at­tri­bu­tion. Par contre quand je cite un auteur, c’est qu’il est clair que l’en­semble des mots a été donné pour la première fois par cette personne.

La ‘For­me’ est calcu­lée à partir de l’équa­tion. Il n’y a pas grand-chose à en dire si ce n’est que j’ai admis des formes compo­sées incom­plètes comme le 12 (4 + 8). Les traits sont forcé­ment soit des diades soit des triades.

Le ‘Carac­tè­re’ est composé selon la méthode de conca­té­na­tion d’in­for­ma­tions binaires (0 et 1) qui peut aussi rece­voir la valeur ‘x’ indé­fi­nie. Dans la sélec­tion Excel, vous pouvez utili­ser les carac­tères ‘?’ et ‘*’. Ce qui veut dire que vous pouvez obte­nir par exemple toutes les néga­tions en mettant ‘ ??1?’ dans la sélec­tion.

La colonne ‘Con­trai­res’ est mal nommée, car elle est mal défi­nie. Elle est multi-usage pour cette version : d’abord elle contient des formes utiles et légi­times qui ne sont pas expres­sé­ment visibles dans l’équa­tion, que j’ai préfixées par ‘opp’ comme oppo­sés. Je fais réfé­rence ici au ‘carré logique’ que vous retrou­ve­rez sur Wiki­pé­dia. Cette distinc­tion permet de mettre en place certaines oppo­si­tions clas­siques qui ne sont pas exclu­si­ve­ment duelles, parce qu’elles sont des extraits d’équa­tions plus larges que sont les quater­ni­tés, comme [eau/feu] par exemple. Même si elle n’est pas faite par les gens qui l’uti­lisent, l’as­so­cia­tion mnémo­nique avec les quatre éléments est ce qui m’a paru le plus univer­sel­le­ment intui­tif. Cette colonne contient en outre la décla­ra­tion des traits qui devraient partir ailleurs, proba­ble­ment direc­te­ment en texte dans l’équa­tion pour aller auto­ma­tique­ment dans la forme. J’ai été tenté de coder en plus dans cette table certains cas spéciaux.

L’‘Équa­tion’ est véri­fiée par code dans ma base de données à chaque inser­tion ou modi­fi­ca­tion. C’est ce même code qui met à jour le champ ‘For­me’.

La ‘Vali­di­té’ est compo­sée, comme le ‘Carac­tè­re’, selon la méthode de conca­té­na­tion d’in­for­ma­tions binaires (0, 1 et x). Mêmes remarques sur la sélec­tion : taper ??? 1 par exemple, pour obte­nir toutes les équa­tions ordon­nées.

‘Expli­ca­tion‘ : de temps en temps je cite le texte dont est tirée l’équa­tion ou bien encore certaines préci­sions.

Le travail le plus avancé est celui qui contient un groupe, mais tout n’est pas encore entré (caté­go­rie, vali­da­tion, etc.). Je vous conseille de choi­sir un groupe et d’y passer du temps, en allant cher­cher sur le Net les infos affé­rentes, en atten­dant mieux. J’ai infi­ni­ment besoin de retours sous la forme d’équa­tions comprises, signées et caté­go­ri­sées par d’autres que moi. L’état d’es­prit est la recherche de consen­sus, ce qui signi­fie que si vous êtes d’ac­cord avec mes signa­tures, vous pouvez me dire pourquoi ou comment vous en êtes parvenu à cet accord, mais ce n’est pas obli­ga­toire. Par contre si vous entrez en contra­dic­tion avec ma signa­ture, j’au­rais néces­sai­re­ment besoin de connaître vos raisons bien docu­men­tées, faute de quoi je ne pour­rais sans doute pas comprendre votre avis.

J’ai posé dans mon texte précé­dent la discus­sion quan­tité/qualité. Je précise, car ce n’était pas dit, qu’il s’agis­sait de la discus­sion sur l’ap­pa­reil autour des équa­tions et pas sur les équa­tions en elles-mêmes. Chacune des équa­tions nues présen­tées dans la base a déjà subi une forte sélec­tion quali­ta­tive. Ce travail, je l’ai recom­mencé à zéro peut-être dix ou vingt fois, en amélio­rant à chaque fois mon outil et ma percep­tion. Ce qu’ap­porte la base de données, c’est que je peux désor­mais entrer des équa­tions que je consi­dère fausses, comme les 4 éléments chinois qui inversent l’air et le feu dans le Yi-King. Il vous faut surveiller les vali­da­tions.

Cette liste d’équa­tion contient des affir­ma­tions avec parfois des réper­cus­sions énormes sur la manière de penser de nos insti­tu­tions. Que pensera un Philo­sophe distin­gué quand il compren­dra que certaines signa­tures affirment qu’en toute analo­gique selon sa forma­tion, la sagesse est syno­nyme de dérai­son ? Que pensera un Chré­tien de ma propo­si­tion, inspi­rée par d’autres, de quater­nité en rempla­ce­ment de la célèbre trinité d’ori­gine plato­ni­cienne ? Un ami m’a dit, après avoir assi­milé mon discours, qu’au fond de moi j’étais un vrai Chré­tien qui sans doute s’igno­rait. J’ai souri.

Certes, il manque énor­mé­ment de textes expli­cites pour nombre d’équa­tions. J’ai vrai­ment beau­coup de choses à écrire.

Pour une suite cohé­rente, le forum semblera un moyen incon­tour­nable, mais je n’en suis pas là, en atten­dant, il y a le mail mumen@­mu­men.fr et les commen­taires.

(*) mais aussi Confu­cius, Pytha­gore, Hippo­crate, Héra­clite, Socrate, Platon, Aris­tote, Franz Bren­tano, Raymond Abel­lio, Georges Ohsawa, Stéphane Lupasco, Basa­rab Nico­lescu, Edmund Husserl, etc., pour ne citer que quelque un des plus répu­tés parmi les purs théo­ri­ciens du prin­cipe.

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