Principe
– La forme aphoristique du principe (le tao va du yin au yang) est triple :
Yin | |
Tao | |
Yang | |
– Elle autorise l’arborescence par dédoublement de ses extrémités :
Yang | ||
Yang-tao | ||
Yin | ||
Tao | ||
Yang | ||
Yin-tao | ||
Yin | ||
– A chaque embranchement fonctionne encore le principe, c’est la fractalité.
– Il n’y a pas d’autre profondeur maximale à l’arborescence que celle de notre culture disciplinaire.
Les opposés :
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Représentation
En représentant le principe, on peut omettre son aspect unaire pour représenter le dual ou le quaternaire :
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– Les formes duale et quaternaire sont les plus courantes. Le trinitaire a quelque instances remarquables, mais reste relativement rare. L’octal (8) est exceptionnel, l’heptade est parfois cherchée, mais jamais vraiment trouvée. Au delà, c’est l’inconnu.
– Toute les représentations d’une forme donnée sont analogiques entre elles, c’est le principe. Si elles sont contradictoires, c’est soit que l’on commet une erreur quelque part, soit que le principe est faux.
– On ne distingue pas nécessairement l’analogie entre deux signatures disciplinaires, mais on peut souvent la retrouver par enchaînement avec d’autres équations intermédiaires : la signature est stable et elle se répand.
– Toute équation ramène toujours à l’équation triple du principe.
Signature
J’appelle signature le fait de classer un ensemble donné de concepts selon l’un des formalismes ontologiques. Pour représenter, il faut signer d’abord. Par exemple, j’ai compris les 4 causes le jour ou j’ai compris qu’elles étaient déjà correctement signées par leur auteur, c’est à dire inscrites dans l’ordre croissant du yin au yang.
Rotation
Selon l’équation première, le tao est yin, le yin-yang est yang. Je nomme ce fait la rotation.
La propriété de rotation est mise en valeur selon l’indicateur graphique suivant :
Yin-Yang | |
Tao | |
Clairière
La clairière indique que les formes représentées sont réputées appartenir au même domaine analogique :
Clairière
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La clairière peut dépendre du contexte, de telle sorte qu’elle peut être associée avec une lecture donnée.
Traits
La notion de trait désigne un ensemble de clairières absolues qui s’étagent selon la profondeur de la réflexion exprimée. C’est une structuration très étonnante du principe, qui m’est apparue avec insistance et que j’ai finalement adoptée comme règle intangible. Chaque trait jalonne l’étape vers la profondeur suivante. Je les identifie avec les lettres grecques. La pensée connaît très bien les deux premiers traits, sans le nommer ni les classer. La clairière du trait se montre ainsi :
Trait alpha
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Dans l’état actuel des choses, les chercheurs expriment très souvent leur synthèse en fonction d’une clairière typologique accompagnée de ses deux traits correspondant, l’alpha et le bêta. Beaucoup plus rarement le trait gamma fait son apparition dans la construction d’une octade.
Portraits
Cette mise en valeur est assez récente pour moi. Elle apparaît, comme le reste, avec la caractérologie. Elle est destinée à recevoir un exposé secondaire, le plus souvent constitué de phrases, complémentaire de la typologie.
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Trésor
De temps à autres une forme m’apparaît d’une importance particulière. Je la met en valeur comme suit :
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Navigation
Je range mes catégories selon la quaternité aristotélicienne. La catégorie dite pmev est centrée sur le principe. Je n’ai pas de nom personnel pour cette rubrique, je n’ai qu’un ancien nom de code qui signifie ‘le petit mode d’emploi de la vie’. Les catégories nous ramènent idéalement vers un secteur disciplinaire. La hiérarchisation n’est pas stricte, c’est à dire que le fait pour un billet d’appartenir à une catégorie n’implique pas qu’il ne parle que d’elle, mais simplement qu’il la cite.
Les mots-clefs sont majoritairement des noms d’auteurs. Les termes préfixés d’un trait définissent des propriétés.
Stabilo
Dans certaines citations, j’use des stabilo vert et bleu pour marquer les évocation des opposés qui m’ont servi à concevoir les signatures d’équations, vert pour yin et bleu pour yang.
Trousseau
J’appelle trousseau l’ensemble des signatures fermes que l’on a à sa disposition pour permettre de signer de nouvelles formes.