Fouiller

Prag­ma­tique­ment, pour savoir où vous allez, vous devez connaître au moins le mode de fonc­tion­ne­ment des équa­tions analo­giques en compre­nant ce billet, Le prin­cipe chinois et ensuite en explo­rant par caté­go­ries ou mots clefs.

Tout peut être saisi sans expli­ca­tions par certains :

Le prin­cipe peut se dire : « Le tao va du yin au yang »

Les équa­tions analo­giques

La brique élémen­taire. Ses formes sont la monade, la dyade et la triade :

Yang
Tao
Yin

 
Par l’ar­bo­res­cence un yin ou un yang peuvent deve­nir le tao d’une nouvelle divi­sion. Les formes de la première subdi­vi­sion sont la tétrade (4) et l’hep­tade (7) :

Yang
Yang
Yin
Tao
Yang
Yin
Yin

 
Les formes de la subdi­vi­sion suivante sont l’oc­tade (8) et la penta­kaï­dé­cade (15).

Si vous connais­sez déjà les trois célèbres notions de la méta­phy­sique chinoise, toutes les bases sont là.

Le prin­cipe

Orient
Feu
Yang
Air
Tao
Eau
Yin
Terre
Occi­dent
Finale
Effi­ciente
Formelle
Maté­rielle

Ceci est un exemple mettant en scène l’union fonda­men­tale des trésors méta­phy­siques de l’Orient et de l’Oc­ci­dent. Le prin­cipe chinois et les quatre causes aris­to­té­li­ciennes sont les deux réfé­rences majeures ici.

L’écri­ture se décri­vant elle-même

Frac­tale
Yang
Arbo­res­cence
Tao
Dyade
Yin
Monade

Et ceci est une expé­rience en forme d’ou­ro­bou­ros.